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Axl Cendres
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Fidèle grandit dans une famille résolument dysfonctionnelle. Son père, kabyle, enchaîne les allers-retours en prison et sa mère, fervente catholique, ceux à l'asile. Malgré tout, elle s'épanouit, entourée de ses six frères et soeurs aux personnalités fortes et aux prénoms panachés : JR, Dalida, Jésus... Cette tribu demeure au Bout du Monde, le bar familial à Belleville, théâtre de leurs joies et de leurs peines. Jusqu'au jour où, reconnue intellectuellement précoce, Fidèle est envoyée dans un lycée des beaux quartiers. Dans cet autre bout du monde, les élèves se nomment Apolline ou Augustin et regardent de haut son Perfecto, ses manières de chat de gouttière et ses tee-shirts Nirvana. Mais c'est aussi là que l'attend l'amour, le vrai, celui qui forme, transforme... Celui qui sauve.
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Alex, 17 ans, est un « hors-la vie ». Après avoir essayé d'éteindre son coeur, il se retrouve dans une clinique pour y être « réhabilité à la vie ». Il y rencontre Alice, aussi belle que cynique ; Victor, aussi obèse que candide ; la vieille Colette, aussi espiègle qu'élégante ; et Jacopo, aussi riche que grincheux. À eux cinq, ils décident de s'évader de la clinique, direction le manoir de Jacopo. Le but du voyage ? Se jeter d'une falaise, tous ensemble - ça leur fera un projet commun !
Mais la route va leur réserver plusieurs surprises. Assez pour qu'Alex se demande si, finalement, la vie n'en vaut pas la douleur...
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USA, les 60's. Né dans une petite ville perdue de l'Illinois, le jeune Bibow Bradley est destiné à finir derrière le comptoir du Bradley's and son , le bar à tocards que tient sa famille. Après un détour obligé par la case Guerre - la sienne, ce sera le Vietnam. À 18 ans, parachuté dans le combat, il aurait dû perdre un oeil comme papy ou une jambe comme papa, mais la particularité de Bibow, c'est qu'il n'a jamais peur. Les balles sifflent à ses oreilles sans qu'il sursaute. Un don très utile aux yeux de la CIA... Mais de mission en mission, entre activistes communistes à Moscou et rassemblements hippies à Woodstock, Bibow découvrira une chose qu'on ne lui a jamais enseignée : le facteur humain.
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Être aimé. C'est tout ce à quoi aspire le héros de ce roman, orphelin de naissance. Lorsqu'il apprend qu'il possède un Q.I. exceptionnel, il croit découvrir l'équation idéale : pour être aimé, il faut réussir. Alors, il réussit - internat, hautes études, fac de médecine. Quand on lui pose une question, il analyse le phénotype de celui qui l'interroge avant d'adopter la réaction appropriée ; le monde, à ses yeux, est un grand laboratoire. Grâce à « l'État, son parent qui l'aime », il finit major de sa promo. Mais un jour, brutalement, il comprend que l'équation est fausse... Tout son système s'écroule, et lui avec. Il entre dans un café, au hasard, et rejoint les siens. Les Désespérés.
- Le regard plein d'étrangeté d'un jeune désaxé sur le monde
- Féroce et bouleversant, l'humour est constamment présent comme un rempart au désespoir
- Une langue singulière qu'on apprivoise avec bonheuronheur -
Elles sont où, les fleurs? se demande le narrateur, quand à 3 ans, il rencontre pour la première fois son père au parloir de Fleury-Mérogis. Face aux yeux d'Elsa qui, 13 ans plus tard, lui demandent comment il en est arrivé là - Elsa, la fille du commissaire, qu'il vient de kidnapper avec ses « abrutis de copains » - il entreprend un long retour en arrière. Fils d'un gangster célèbre, conçu au parloir, il grandit comme il peut entre ses « oncles » qui le gardent après l'école et les mensonges sur le métier de son père. Devenu ado, il apprend à tricoter des cagoules pour s'essayer à des braquages pourris, partage une évasion ratée avec son père qui le rapproche de lui - jusqu'au drame qui le précipite dans la cour des grands. Il se mesure cette fois à un vrai caïd, tombeur de son père... Le parcours touchant d'un fils de qui croit sa voie toute tracée, sur fond de polar-comédie
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« Dis-moi que c'est vrai », elle a dit. « C'est vrai », j'ai menti. À plusieurs reprises, le narrateur de ce mini-roman, 15 ans, ment pour rassurer sa mère, avec qui il vit seul à Paris, dans le 10e arrondissement. Bonnes intentions et mensonges se télescopent ainsi, d'abord drôles, puis très vite doux-amers tandis qu'entre fumette et premier amour, il expérimente ce qu'on doit faire ou pas, ce qui fait finalement le plus tourner la tête et surtout, ce qu'on peut dire ou pas quand on aime...
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Petit villageois andalou, Esteban Casillas adore les récits de sa grand-mère sur son glorieux aïeul matador, mystérieusement disparu. Devenu grand, il n'a de cesse, malgré l'interdit paternel, d'endosser à son tour l'habit de lumière. Et d'affronter en secret le plus légendaire des taureaux, le fameux descendant du Diable...
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En toute logique, le héros de ce roman aurait dû devenir champion d'échecs.
Naturellement surdoué, il est pris en charge par le soporifique professeur Martini, qui veut lui assurer une carrière. Et pour " achever sa formation ", le voilà envoyé en ville... sauf qu'il loge au Paradis, un bar de supporters de foot à deux rues de l'Enfer, l'établissement rival. Intrigué, et même fasciné, il demande au fils du patron, Mickey - " comme Mickey Falcon, le plus grand défenseur de tous les temps " - de lui apprendre à...
Devenir supporter ! Entre les stades de foot bouillants et les salles d'échecs glacées, préparez-vous à une électrisante douche écossaise !
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Etre aimé.
C'est tout ce à quoi aspire le héros de ce roman, orphelin de naissance. lorsqu'il apprend qu'il possède un q. i. exceptionnel, il croit découvrir l'équation idéale: pour être aimé, il faut réussir. alors, il réussit - internat, hautes études, fac de médecine. grâce à "l'etat, son parent qui l'aime", il finit major de sa promo. mais un jour, il comprend que l'équation est fausse. tout son système s'écroule, et lui avec.
Il entre dans un café au hasard, et rejoint les siens. les désespérés.
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Au pavillon 43, il y a un Napoléon, un Jésus et une Théière Humaine. Et, à la barre, Abel Francis Sandro, jeune psychiatre à l'alcoolémie savamment contrôlée (0,8 g dans le sang, jamais plus, jamais moins), flanqué de son ami Johnny Rotten Walker et obsédé par une idée folle : comprendre comment les gens marchent. Depuis son enfance à l'orphelinat, Abel cherche à croire en l'humanité - c'est même pour cela qu'il est devenu médecin. Mais il se rend vite à l'évidence : sa méthode ne fonctionne pas. Ce qu'il comprend des gens, c'est leurs maladies, pas eux. Alors, le désespoir le gagne. Il mettrait volontiers fin à ses jours, si l'instinct de survie, « cette saloperie », voulait bien le lâcher...