F. Peron
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Le chêne
Jean-françois Clémence, F. Peron, Nathalie Locoste
- Actes Sud
- Le Nom De L'arbre
- 9 Mars 2013
- 9782330018474
Ce colosse végétal doté d'une longévité exceptionnelle est devenu le compagnon de l'homme et l'a abrité, nourri, chauffé et soigné. Arbre isolé au houppier épanoui, pilier élancé des futaies-cathédrales ou silhouette inquiétante des chemins creux, nos ancêtres l'ont paré d'une aura de force et de fécondité. Si vous êtes né un 21 mars, le chêne est votre arbre tutélaire, selon le calendrier celtique : un symbole d'indépendance, de liberté et d'immortalité
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Voyage aux terres australes 2 volumes
Peron F
- Comite Des Travaux Historiques Et Scientifiques
- 8 Décembre 2011
- 9782735507481
La vie de François Péron commence modestement en 1775 dans une petite ville du Bourbonnais, Cérilly, près de la forêt de Tronçais. Il saisit sa chance sur les champs de batailles des armées révolutionnaires en s'engageant parmi les Volontaires de l'Allier dès 1792. Quatre ans plus tard, il revient en héros et peut alors s'inscrire dans une école de santé ouverte par le Directoire, puis il adhère à la Société des observateurs de l'homme.
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L'intelligence des perroquets: l'hypothese du cerveau social
Peron-F
- Editions Universitaires Europeennes
- 2 Juin 2011
- 9786131576027
Dès les années 60, les primatologues suggèrent que les interactions entre les individus imposent d'avoir des compétences intellectuelles spécifiques pour traiter les informations et se comporter de manière adaptée à la fois à la situation et aux congénères. Les chercheurs mettent en évidence que les grands singes ont un gros cerveau par rapport à la taille de leurs corps. L'hypothèse proposée est alors la suivante : la gestion des relations sociales demande des capacités particulières qui pourraient expliquer la taille du cerveau. Un cerveau plus gros -des capacités de réflexion supérieures- permettrait de pouvoir manipuler des congénères, de les tromper mais aussi de coopérer. Les psittacidés (perroquets et perruches) ont également un gros cerveau par rapport à la taille de leur corps. Les travaux menés au cours de ma thèse avaient pour objectifs de mettre en évidence le comportement de ces oiseaux dans des situations sociales complexes. Les curieux, amateurs ou professionnels, pourront découvrir au fil des pages combien l'expression 'avoir une cervelle d'oiseau est loin d'être adaptée. Les compétences de ces oiseaux sont incroyables et les études à menées quasi infinies!