On les a dits « primitifs », « nègre », « populaires », « tribaux »... : les arts aujourd'hui usuellement nommés « premiers » peinent à être désignés de manière satisfaisante.
Sans doute parce que c'est un regard occidental porté sur des arts de peuples non européens, la plupart du temps sans écriture, généralement animistes, qui les a ains i classés.
Qu'ils viennent d'Afrique, du Grand Nord, des Amériques, d'Océanie, ou d'Asie, ces arts qui s'expriment sur des supports très divers (masques, tatouages, peintures) ont en commun d'être nés bien avant que le mot « art » lui-même n'apparaisse.
Des statues lega aux dessins sur sable au Vanuatu, cet ouvrage nous invite à découvrir et à comprendre ces arts dits « premiers » qui lient le visible et l'invisible, l'utile et le beau.
Baptisés ainsi par dérision, les impressionnistes ont bouleversé l'histoire de l'art et posé les jalons de la peinture moderne. Par leurs thèmes de prédilection (les marines, la campagne, les intérieurs feutrés, les gares...), ils ont revivifié un art jusqu'alors dominé par les sujets historiques ou mythologiques. Grâce à leur approche si particulière de la touche et de la lumière, ils ont proposé une manière renouvelée de voir, notamment en se démarquant de la photographie, qui rendit superflue toute reproduction réaliste du monde.
En 100 mots, c'est la grande et la petite histoire de ce mouvement que retrace Jean- Jacques Breton ; où l'on apprend pourquoi, à une lettre près, Monet et Manet ont failli ne pas devenir amis et ce que Les Nymphéas de l'Orangerie doivent à une cataracte mal soignée...
Un magnifique ouvrage, complet, qui présente les oeuvres d'art les plus remarquables des peuples primitifs, ainsi que les premières photos prises par les explorateurs à la fin du XIXe siècle.
La découverte des peuples dits primitifs est récente : peu de publications présentent leur patrimoine artistique, malgré l'engouement suscité ces dernières années par les collections exposées au musée du quai Branly.
Les masques, costumes, instruments de musique, pièces de vaisselle, sculptures, outils, peintures, bijoux, tapisseries, armes ou encore parures des peuples primitifs d'Océanie, d'Asie, d'Afrique et des Amériques sont magnifiquement mises en valeur grâce au format exceptionnel du livre.
L'ouvrage reprend largement les principales collections exposées au Quai Branly, mais pas uniquement. Surtout, les premières photos de ces peuples, prises par les explorateurs à la fin du XIXe siècle, confèrent à l'ouvrage une dimension supérieure à celle d'un catalogue austère : les objets prennent vie, et l'on découvre les visages des derniers de nos semblables à avoir conservé un mode de vie ancestral.
Le livre qu'édite aujourd'hui la Bibliothèque des Introuvables fournit une iconographie originale sur ces peintres, mais ne néglige pas pour autant certaines des oeuvres célèbres comme le Caïn de Fernand Cormon. Quand il a fallu ouvrir le musée d'Orsay plus personne ne savait où avait été rangé ce tableau qui fait tout de même 3 sur 7 m ! Toutes ces toiles égarées, roulées en réserve ou exposées dans des musées de province comme le Vercingétorix jette ses armes aux pieds de César, de Royer Lionel (1899) au musée Crozatier du Puy en Velay, vous allez les redécouvrir ici.
Ce texte ne se veut cependant pas un catalogue aride mais une approche thématique avec un ton non dénué d'humour, avec des anecdotes où l'on découvre que nos arrière-grands-pères, amateurs de grands faits héroïques de l'Histoire de France - c'est le chapitre : La peinture d'Histoire, une fabrique d'icônes patriotiques - ne dédaignaient pas un voyeurisme érotique non sans perversité - c'est le chapitre La délectation morose.
L'ouvrage replace aussi les oeuvres dans leur contexte historique - l'Affaire Dreyfus, le boulangisme - et s'adresse ainsi à ceux qui ont envie de feuilleter à nouveau les livres d'Histoire de leur enfance ou qui veulent découvrir un pan entier occulté de l'Histoire de la peinture.
On les a dits « primitifs », « nègre », « populaires », « traditionnels », « tribaux » : les arts aujourd'hui usuellement nommés « premiers » peinent à être désignés de manière satisfaisante. Il faut souligner que ce champ des arts premiers est le résultat d'un regard occidental porté sur les arts de peuples non européens, la plupart du temps sans écriture, généralement animistes, souvent organisés de manière tribale. Définition large tant d'un point de vue géographique (Afrique, Grand Nord, Amériques, Océanie, Asie sont concernés) qu'au regard des types d'oeuvres classées sous cette appellation (de la sculpture au tatouage en passant par la peinture, ou encore l'architecture).
Par zone géographique (et en s'arrêtant plus particulièrement sur certains motifs emblématiques comme le masque en Afrique ou chez les Inuits), cet ouvrage nous invite à découvrir des arts nés bien avant que le mot « art » lui-même n'apparaisse, des oeuvres qui mêlent indissociablement le beau, l'utile, la pensée magique.
Les arts premiers nous fascinent autant qu'ils nous intriguent. Du fond des âges, ils forcent le respect, provoquent l'admiration, nous ramènent aux racines des civilisations et de la terre, nous troublent et nous saisissent par l'émotion et l'émerveillement.
Dépositaires de sagesses ancestrales, magiques et surréalistes, massifs et « primitifs » dans le meilleurs sens du terme, « cultures autres » et passion de quelques-uns pour devenir leçon d'humanité pour tous, les arts premiers exercent aujourd'hui leur pouvoir sur le monde extérieur.
Remarquablement illustrée, foisonnant de références, de rappels historiques, de commentaires éclairés sur les soixante et onze oeuvres emblématiques que l'auteur a sélectionnées, cette Anthologie des arts premiers est incontestablement l'un des témoignages les plus accomplis sur la découverte des arts lointains.
Sans les faussaires le monde serait bien triste Paul ValéryAu fond de chacun se tapit un rebelle qui s'amuse, sans trop se l'avouer, lorsque Guignol rosse le gendarme. C'est parfois le même sentiment amusé quand un mystificateur dupe des experts pontifiants ou quand le faussaire van Meegeren vend un faux Vermeer au pillard Goering.
Cependant ne soyons pas dupes les faussaires ne sont pas des Robin des bois et leur motivation est l'appât du gain ou la soif de reconnaissance par vanité. Pire, de fausses gravures préhistoriques jetèrent pendant des années le discrédit sur l'art rupestre, retardant de trente ans son étude.
Après avoir montré les différences entre copies se déclarant comme telles et faux destinés à duper, avec parfois un peu de confusion entre les deux, nous retraçons ici l'histoire de quelques faussaires de génie, d'autres qui sont si mauvais que la seule explication est l'aveuglement volontaire de leurs victimes et de quelques mystificateurs qui vont de Michel Ange lui-même à Cesare Tubino dont la fausse Vierge aux chats figura longtemps dans le catalogue des oeuvres de Léonard de Vinci.
Sur un ton léger, cet ouvrage ludique vous permettra de découvrir ou redécouvrir des centaines d'anecdotes piquantes, surprenantes, très souvent cocasses mais on ne peut plus vraies, sur les coulisses de l'art. Un florilège des « petites histoires » pour mieux appréhender « la Grande ».Sur le modèle des Petites histoires de l'histoire de France de Jean-Paul Rouland et quelque part entre les Miscellanées de M. Schott et Au bonheur des mots de Claude Gagnière, voici Les petites histoires de l'histoire de l'art.
Le lecteur y trouvera toute une série d'histoires drôles sur les artistes de tous les temps, aussi des détails insolites sur des tableaux célèbres comme les noms des personnages qui figurent dans Le Déjeuner des canotiers de Renoir ou des faits curieux comme le titre du tableau le plus souvent volé et rendu !
Thèmes abordés :
Art et critique ; art et technique, artistes facétieux, arts premiers, faiblesses, originalités, faux et trouvailles, finances, inspiration, imagination, miscellanées, mort, superstitions, surnoms / étymologies, vannes / mots féroces, vols Quelques exemples :
Vols : Portrait de Jacob de Gheyn III, de Rembrandt : Ce portrait possède un curieux record : il est le tableau le plus souvent volé. Il l'a en effet été quatre fois depuis 1966. Mais Jacob de Gheyn III est comme le boomerang : il revient toujours à son point de départ. A chaque fois il a été rendu anonymement.
Artistes facétieux On raconte cette anecdote amusante sur Chagall, qui a le mérite de souligner sa modestie. Chagall descend de son échafaudage et va déjeuner dans un bistrot du quartier, comme il en existait encore à l'époque. A midi, le petit peuple parisien d'employés et de prolos vient y déjeuner. Chagall et son fils s'installent à côté d'ouvriers. La blouse pleine de taches, il est pris pour un peintre en bâtiment et l'un d'eux lui demande : « Tu fais un chantier par ici ? » Et Chagall de répondre : « Je refais un plafond ».
Mort Georges Clemenceau était l'ami intime de Monet et a écrit de très belles pages sur les Nymphéas. Sans lui leur présentation au musée de l'Orangerie n'aurait jamais en lieu. Quand il est invité à se recueillir sur la dépouille de son ami à Giverny en 1926, il avise le drap funèbre au noir lugubre et il a alors un geste magnifique et émouvant : il arrache un rideau aux couleurs éclatantes et le jette sur le cercueil en s'écriant : « Pas de noir pour Monet ! »
Jean-Jacques Breton et Dominique Williatte vous mènent sur les chemins de la création et de l'inspiration... Ils vous dévoilent les secrets de ces artistes célèbres mais finalement méconnus et vous livrent des anecdotes inédites sur ces destins exceptionnels. De Van Gogh et Gauguin à Pissaro et Cézanne en passant par Botticelli ou Goya. Voici notre histoire de l'art résumée autour de 50 figures clés de la création artistique. Les biographies de ces peintres et sculpteurs vous apprendront comment ces hommes et ces femmes sont devenus artistes, quelles furent leurs influences, leurs sujets favoris et leurs sources d'inspiration. Et pour chaque artiste, la liste des musées où l'on peut voir les oeuvres !
On les a dits « primitifs », « nègre », « populaires », « tribaux »... : les arts aujourd´hui usuellement nommés « premiers » peinent à être désignés de manière satisfaisante. Sans doute parce que c´est un regard occidental porté sur des arts de peuples non européens, la plupart du temps sans écriture, généralement animistes, qui les a ainsi classés.
Qu´ils viennent d´Afrique, du Grand Nord, des Amériques, d´Océanie, ou d´Asie, ces arts qui s´expriment sur des supports très divers (masques, tatouages, peintures) ont en commun d´être nés bien avant que le mot « art » lui-même n´apparaisse.
Des statues lega aux dessins sur sable au Vanuatu, cet ouvrage nous invite à découvrir et à comprendre ces arts dits « premiers » qui lient le visible et l´invisible, l´utile et le beau.
La redécouverte des arts premiers par le grand public à l'occasion de l'ouverture du musée du Quai Branly a ravivé bon bombre d'idées reçues et en a créé de nouvelles : « Les Arts premiers sont les plus anciens », « Ils concernent surtout l'Afrique », « Les artistes sont anonymes », « Ce sont avant tout des masques », « Ce n'est pas de l'art, c'est de l'artisanat », « La cote des Arts premiers est très surestimée », ...
Ces idées reçues sont d'autant plus prégnantes que la connaissance que nous avons, pour la plupart, dans ce domaine est assez limitée au regard des autres formes d'art. Écrit par un spécialiste pour des non-spécialistes, cet ouvrage est une initiation vivante aux Arts premiers.
Voici un rapide survol des arts non européens.
Les arts présentés ici ont un point commun: la magie, au sens religieux d'intermédiaire entre le monde terrestre et l'au-delà mais aussi et surtout au sens où le surréalisme a utilisé l'expression " art magique ". André Breton désignait ainsi le lien entre la condition humaine et le surnaturel poétique ainsi que la plongée dans ces zones de l'esprit où s'élabore la création pure. Il en appelait ainsi à l'" amateurisme de génie " contre l'" art officiel européen ".
Ces arts traditionnels et populaires des autres continents ont contribué à renouveler la sensibilité moderne et sont à l'origine de l'art actuel. Ils ont enfin leur place légitime dans l'Histoire artistique de l'humanité.
Depuis 1972, l'Unesco tente de préserver plus de 1 000 sites culturels et naturels partout dans le monde. De sites culturels comme le Port de la Lune à Bordeaux ou le Temple d'Or de Dambulla à des sites archéologiques comme les Grottes de Yungang en Chine, en passant par des parcs naturels comme le Parc provincial Dinosaur en Amérique du Nord, ce livre illustré se propose d'être un inventaire exhaustif et unique du patrimoine mondial.
Le Patrimoine mondial de l'Unesco illustré pour les Nuls se propose d'en faire l'état des lieux. Un voyage parmi tous les sites classés par l'Unesco, éléments de notre identité, héritage du passé et don pour l'avenir.
Dans ce livre :
Une organisation pratique, continent par continent, des différents sites culturels, archéologiques et naturels.
Plus de 200 photographies.
Préface de M.Koichiro Matsuura, Directeur général de l'Unesco de 1999 à 2009, chargé de mission pour le Patrimoine mondial.
Les statues grecques vous laissent de marbre ? La visite d'un musée vous arrache des bâillements d'ennui, les galeries d'art vous donnent de l'urticaire et vous ne comprenez pas pourquoi des personnes apparemment saines d'esprit sont prêtes à s'empoigner dans une salle de ventes pour acheter à prix d'or un tableau qui ressemble à un dessin d'enfantoe L'art, pensez-vous, c'est un peu comme le polo ou les échecs; pour s'y intéresser, il faut être très riche ou très intelligent. Eh bien, rien n'est moins vrai: faisant d'abord appel à la sensibilité, l'art n'est pas réservé à une poignée d'élus !Tout le monde peut apprécier la beauté d'un objet et le profane, armé de connaissances modestes, apprend vite à affiner son goût. Peinture, sculpture, architecture... Les formes d'expression sont multiples. De la grotte de Lascaux à la chapelle Sixtine en passant par le temple d'Angkor, le Penseur de Rodin, l'Egouttoir de Duchamp et bien d'autres encore, cet ouvrage explore, à travers l'infinie variété des époques et des styles, l'extraordinaire richesse du patrimoine artistique de l'humanité depuis ses origines. Comme un immense musée, mais en moins poussiéreux... et en plus amusant!
Que la visite d'un musée vous arrache des bâillements d'ennui, les galeries d'art vous donnent de l'urticaire et vous ne comprenez pas pourquoi des personnes apparemment saines d'esprit sont prêtes à s'empoigner pour acheter à prix d'or un tableau qui ressemble à un dessin d'enfant ? L'art, pensez-vous, c'est un peu comme le polo ou les échecs ; pour s'y intéresser, il faut être très riche ou très intelligent.
Eh bien, rien n'est moins vrai : faisant d'abord appel à la sensibilité, l'art n'est pas réservé à une poignée d'élus ! Tout le monde peut apprécier la beauté d'un objet et le profane, armé de connaissances modestes, apprend vite à affiner son goût. Peinture, sculpture, architecture... Les formes d'expression sont multiples. De la grotte de Lascaux à la chapelle Sixtine en passant par le temple d'Angkor, le Penseur de Rodin ou l'Égouttoir de Duchamp, cet ouvrage explore, à travers l'infinie variété des époques et des styles, l'extraordinaire richesse du patrimoine artistique de l'humanité depuis ses origines. Avec les Nuls découvrez ou redécouvrez les plus belles oeuvres d'art grâce aux nombreuses reproductions en couleur. Comme un immense musée, mais en moins poussiéreux- et en plus amusant !
Et en cadeau, cette édition collector vous offre une visite privée des collections du Louvre avec le poche Le Louvre pour les Nuls !
Jacques Breton est prêtre catholique. Tour à tour vicaire en paroisse, aumônier de lycée, ermite, c'est sa rencontre avec K. Graf Dürckheim, Maître Noro et des maîtres de la tradition zen au Japon qui lui a permis de faire le lien entre corps, psyché et esprit et d'approfondir sa vie spirituelle. A la suite de ce parcours très singulier il a fondé le centre Assise, lieu de cheminement et de silence, pour transmettre son expérience et aider les personnes à devenir elles-même dans l'unité, la liberté et l'ouverture au monde.
Cet ouvrage est une incitation à sortir des sentiers battus des traditionnelles visites guidées, voire guindées par l'obligation de voir les chefs-d'oeuvre célèbres.
Les auteurs ont choisi comme parti-pris de retenir uniquement des chefs-d'oeuvre inhabituels et étonnants conservés dans les musées de notre pays. On découvrira, entre autres, comment Rodin, mort en 1917 donne encore des bronzes aujourd'hui, comment les coeurs momifiés de rois de France ont pu servir de liant à une peinture conservée au Louvre ou encore pourquoi certaines oeuvres fascinantes sont restées dans l'ombre.
Si la peinture est majoritaire, tous les domaines de l'histoire de l'art sont abordés : architecture, sculpture, dessin, gravure, vitrail, arts premiers.
Ce livre nous permet de visiter près de 150 musées, du plus célèbre, le Louvre, au plus modeste, Cambrai ; d'Ajaccio à Lille et de Strasbourg à Brest.
I. Artistes à redécouvrir II. Les sujets dévoilés III. De l'inédit au bizarre IV. Le fabuleux destin des oeuvres
Contrôle des ruines de Volney / par Jacques Breton,...
Date de l'édition originale : 1860 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
La visite d'un musée vous arrache des bâillements d'ennui ? Les galeries d'art vous donnent de l'urticaire et vous ne comprenez pas pourquoi des personnes apparemment saines d'esprit sont prêtes à s'empoigner dans une salle de ventes pour acheter à prix d'or un tableau qui ressemble à un dessin d'enfant ? L'art, pensez-vous, c'est un peu comme le polo ou les échecs : pour s'y intéresser, il faut être très riche ou très intelligent. Eh bien, non : faisant d'abord appel à la sensibilité, l'art n'est pas réservé à une poignée d'élus ! Tout le monde peut apprécier la beauté d'un objet et le profane, armé de connaissances modestes, apprend vite à affiner son goût. Peinture, sculpture, architecture... À travers l'infinie variété des époques et des styles, cet ouvrage explore l'extraordinaire richesse du patrimoine artistique de l'humanité. Comme un immense musée, mais en moins poussiéreux... et en plus amusant !