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Leïla Jarbouai
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Un recueil sur la représentation du chat dans l'ensemble de l'art du XIXe siècle, du cabaret du Chat noir fondé par Rodolphe Salis aux oeuvres d'Edouard Manet, en passant par celles de Pierre Bonnard ou Auguste Renoir entre autres.
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Théophile-Alexandre Steinlen (1859-1923)
Collectif
- In Fine éditions d'art
- 25 Octobre 2023
- 9782382031438
Édité à l'occasion du centenaire de sa mort, cet ouvrage rend hommage à Théophile-Alexandre Steinlen (1859-1923). Porté par des idées de justice et de liberté universelles, Steinlen rêve un monde meilleur et espère l'avènement d'une société nouvelle. Un fil conducteur se détache au sein de son oeuvre extrêmement prolifique : celui de l'engagement, tant l'artiste a associé art et politique, en se faisant témoin critique de son temps. En proposant de nouvelles analyses de son oeuvre et une abondante iconographie, l'ouvrage met en lumière l'oeuvre essentiellement militant, humaniste et plein d'espoir d'un artiste qui croit en la mission sociale et politique de l'art.
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Trésors du Petit Palais de Genève
Claude Chez, Marie-paule Vial, Camille Viéville, Leïla Jarbouai
- Éditions Snoeck
- Catalogue De Musee
- 30 Janvier 2025
- 9789461619525
Du 24 janvier au 1er juin 2025, la Fondation de l'Hermitage présentera les Trésors du Petit Palais de Genève, une collection impressionniste et postimpressionniste particulièrement originale. Réuni à partir des années 1950 par Oscar Ghez, cet ensemble témoigne d'un esprit de collectionneur remarquablement libre. En effet, l'industriel français s'intéressa avec une grande curiosité à la peinture de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle, sans limiter ses choix aux grands maîtres. Ainsi, il fit l'acquisition de magnifiques tableaux d'Édouard Manet et d'Auguste Renoir, mais également de toiles somptueuses d'artistes moins connus alors, comme Gustave Caillebotte, Charles Angrand, Maximilien Luce, et Louis Valtat, dont certaines sont devenues depuis des icônes. L'engouement du collectionneur pour certains peintres, dont il rachetait notamment le fonds d'atelier, a créé des ensembles d'oeuvres monumentaux qui offrent désormais une vision panoramique sur leur parcours. Le plus emblématique d'entre eux est le Lausannois Théophile Alexandre Steinlen, dont la collection du Petit Palais compte près de 600 peintures, gravures et dessins. À partir de 1968, la collection est montrée au Petit Palais, un hôtel particulier néoclassique proche de la vieille ville de Genève. Mais depuis la fermeture au public de l'institution en 1998, les oeuvres ne sont plus visibles que par des prêts à des expositions temporaires ou des tournées de la collection hors de Suisse. La présentation à la Fondation de l'Hermitage constituera donc un événement : une occasion unique de (re)découvrir ses chefs-d'oeuvre et de percevoir la richesse et l'audace de cette collection suisse de premier plan.
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Vincent Van Gogh, l'amour de la nature
Leïla Jarbouai
- Éditions des Falaises
- Art
- 29 Septembre 2023
- 9782848116266
Exposition du 3 octobre 2023 au 4 février 2024 au musée d'Orsay. Derniers mois de la vie du peintre et tableaux iconiques.
Les dernières années de Van Gogh passées dans l'Oise, ses tableaux qui reflètent sa vie et son esprit tourmenté, ce sont les thèmes de ce livre de la collection Peintres.
Dans les deux derniers mois de sa vie, à Auvers-sur-Oise, de 1980, Vincent Van Gogh y décède le 29 juillet à la suite d'une tentative de suicide. Bien que le peintre n'ait passé qu'un peu plus de deux mois à Auvers, cette ériode marque la création de quelques-uns de ses plus grands chefs-d'oeuvre.
Durement éprouvé par les différentes crises subies à Arles puis dans l'asile de Saint-Rémy, Van Gogh se rapproche de Paris et de son frère Théo pour trouver un nouvel élan créatif. Le choix d'Auvers tient à la présence du dr Gachet, médecin spécialisé dans le traitement de la mélancolie, collectionneur et amis des impressionnistes. Van Gogh s'installe au centre du village, dans l'auberge Ravoux, et explore tous les aspects du nouveau monde qui s'offre à lui, en luttant contre des inquiétudes liées à son état de santé, ses relations avec son frère, sa place dans le monde de l'Art.
Des oeuvres iconiques peintes en cette période : Le Docteur Paul Gachet, L'église d'Auvers-sur-Oise, ou encore Champ de blé aux corbeaux, village, portraits, natures mortes, paysages de la campagne environnante. -
Les arpenteurs de rêves : dessins du musée d'Orsay
Collectif
- In Fine éditions d'art
- 13 Juillet 2022
- 9782382030950
À travers une sélection de près de deuxcents dessins, carnets, aquarelles et pastels des collections du musée d'Orsay, ce livre estune invitation àuncheminement poétique au coeur des arts graphiques dela seconde moitié du XIXesiècle etdu début du XXesiècle.
Des feuilles de plus de soixante-dix artistes, parmi lesquels Gustave Doré, EdgarDegas, Édouard Manet, MarieBracquemond, Gustave Moreau, OdilonRedon, PaulGauguin, Maurice Denis etPierreBonnard, sont réunies et étudiées autour de cinq thèmes liés àl'imaginaire etaurêve : « Derrière les paupières », ou regards intérieurs, « Expériences oniriques du paysage » ; « Parmonstres etmerveilles » ; « Au fil des pages » et « Dela musique avant toutechose », ou dessins inspirés par la musique. -
Un recueil sur la représentation du chat dans l'ensemble de l'art du XIXe siècle, du cabaret du Chat noir fondé par Rodolphe Salis aux oeuvres d'Edouard Manet, en passant par celles de Pierre Bonnard ou Auguste Renoir entre autres.
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Henri Fantin-Latour
Leïla Jarbouai
- Gallimard
- Hors Serie Decouvertes Gallimard
- 22 Septembre 2016
- 9782072687433
Henri Fantin-Latour (1836-1904), artiste surtout connu pour ses natures mortes et ses portraits de groupe, a créé également de nombreuses peintures dites d'« imagination ».Très attaché dès sa jeunesse à la restitution fidèle de la réalité, Fantin-Latour explora également, avec délectation, une veine plus poétique qui le rapproche des symbolistes.
Adoptant un parcours chronologique, le Hors série s'ouvre sur les oeuvres de jeunesse, dont les autoportraits qu'il réalise dans les années 1850-1860.
Confiné dans l'atelier, Fantin-Latour trouve alors ses sources d'inspiration au coeur de sa sphère privée. Modèles captives, ses deux soeurs sont mises en scène en liseuses ou en brodeuses, tandis que les natures mortes du peintre savamment composées des années 1860 révèlent, déjà, ses exceptionnelles qualités d'observation.
La décennie 1864-1874 est une période charnière dans le travail de Fantin- Latour. Le jeune artiste travaille alors intensément, innovant avec ostentation dans le portrait et la nature morte, qui sont ses deux domaines de prédilection.
Avec l'Hommage à Delacroix, premier de ses grands portraits de groupe, il s'inscrit dans une certaine modernité, aux côtés de Delacroix ou de Manet.
Depuis Le Toast (1864-1865) jusqu'au Coin de table (1872), il multiplie des oeuvres ayant valeur de manifestes.
La troisième partie de l'oeuvre offre les séries de natures mortes et de portraits que l'artiste réalise entre 1873 et 1890. À l'exception des portraits de commande, qui progressivement vont se raréfier, il qualifie alors ces toiles d'« études d'après nature ». Les somptueuses peintures de fleurs qu'il brosse alors par dizaines témoignent d'un talent rare dans la composition des bouquets autant que d'une exceptionnelle virtuosité dans le rendu des matières.
Ses portraits, posés ou plus naturels, plus intimistes, illustrent son sens aigu de l'observation.
L'artiste va pourtant finir par se lasser des portraits et des natures mortes.
Les oeuvres dites d'« imagination » prennent au fil des années une part croissante de son temps. Inspirées de sujets mythologiques ou odes à la beauté du corps féminin, elles surprennent chez cet artiste.
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Des vies et des visages ; portraits d'artistes du musée d'Orsay
Isabelle Gaëtan, Leïla Jarbouai, Geraldine Masson, Claire Meunier
- Silvana Editoriale
- 20 Avril 2017
- 9788836635801
A travers 84 oeuvres commentées issues des très riches collections de dessins du musée d'Orsay, l'exposition et son catalogue retracent une histoire du portrait et de l'autoportrait d'artistes à l'époque du culte des grands hommes.
Peintres, sculpteurs, graveurs ou écrivains de la seconde moitié du XIX e siècle se dévoilent et se mettent en scène dans des techniques très variées qui laissent visible le processus de création. Les chefs d'oeuvre de la collection y côtoient des feuilles jamais présentées auparavant. Les grands noms y rencontrent des artistes moins connus mais à l'indéniable talent de dessinateur qui méritent d'être découverts ou redécouverts.
Introduisant le lecteur au coeur de l'intimité des auteurs de ces oeuvres fragiles et émouvantes, l'ouvrage invite à pousser la porte des ateliers pour les entrevoir en plein travail ou surprendre les relations d'amitié, les camaraderies d'atelier, les affinités esthétiques et stylistiques.
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Rosa Bonheur, le regard des animaux
Sandra Buratti-Hasan, Leïla Jarbouai
- Éditions des Falaises
- Art
- 7 Octobre 2022
- 9782848115535
A l'occasion du bicentenaire de la naissance de Rosa Bonheur, le musée des Beaux-Arts de Bordeaux, sa ville natale, et le musée d'Orsay, organisent une importante rétrospective de son oeuvre.
Événement majeur sur le plan national et international, cette manifestation met à l'honneur une artiste hors norme, novatrice et inspirante. Véritable icône de l'émancipation des femmes, Rosa Bonheur plaça le monde vivant au coeur de son travail et de son existence. Elle s'engagea pour la reconnaissance des animaux dans leur sigularité. Plaçant l'animal au coeur de sa création artistique, elle peint de véritables portraits, que par sa maîtrise technique, elle rend vivants à la fois dans l'anatomie que dans la psychologie.
Rosa Bonheur a su créer une oeuvre expressive, dénuée de sentimentalisme et d'un grand réalisme, nourrie des découvertes scientifiques et de l'attention nouvelle portée aux espèces animales de terroirs, remettant en cause la hiérarchie entre les espèces.
Rosa Bohneur se mesura aux plus grands maîtres du genre animalier, et se confronta à des formats monumentaux, conférant à ses oeuvres la grandeur de la peinture d'histoire.
Cette exposition permet de faire (re)découvrir au public la puissance et la richesse de son art, ainsi que sa vie de femme libre, devenue mythique, et de son oeeuvre, formidablement populaire aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.
Expositions : MuMa de Bordeaux (18 mai - 18 septembre 2022) - musée d'Orsay (17 octobre 2022 - 15 janvier 2023). -
SORCIÈRES ! Fantasmes, savoirs, liberté
Paule Petitier, Rakhee Balaram, Leïla Jarbouai, Céline Du chéné, Alix Paré, Nicole Jacques-Lefèvre, Jean-David Jumeau-Lafond, Sophie Kervran, Vincent Robert, Fabienne Dumont
- Faton
- 9 Juillet 2025
- 9782878443998
L'année 2025 est une grande année pour le musée de Pont-Aven qui fête ses 40 années d'existence. Pour célébrer cet anniversaire, deux expositions ambitieuses sont présentées au musée cette année : l'artiste contemporaine Corinne Vionnet dont c'est la première exposition monographique, de février à mai ; et l'exposition d'été en partenariat avec le musée d'Orsay qui met à l'honneur la figure de la sorcière au XIXe siècle.
Au coeur de notre imaginaire collectif, les sorcières ont longtemps incarné l'allégorie de la vieillesse, de la mort, du vice et du mal. Elles sont associées au surnaturel, à la nature, à ce qui fait peur et que l'on ne maîtrise pas. Mais 1862 marque une rupture avec la publication de La Sorcière de l'historien Jules Michelet : la sorcière devient alors à la fois un emblème de révolte, de connaissance et d'harmonie avec les éléments naturels, posant les bases de l'éco-féminisme. Réenchantée, elle devient le symbole de la lutte des opprimés contre l'arbitraire. Ambivalente, la sorcière cristallise les fantasmes masculins sous forme d'icône érotisée dotée d'une éternelle jeunesse s'opposant ainsi à la vieille femme laide des contes et illustrations. Pour des artistes majoritairement masculins, la sorcière évoque l'autre et l'inconnu, avec sa part d'attraction et de menace. Dans une société patriarcale où la femme est considérée comme mineure, la sorcière personnifie la femme forte, qui menace l'ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Elle incarne la résistance face aux pouvoirs dominants.
L'exposition fait dialoguer les arts au sein d'un parcours qui fait la part belle aux arts graphiques, à la peinture, à la sculpture, aux objets d'art, à la photographie, au cinéma ainsi qu'à la musique, la danse et la littérature. -