Oupa Diossine Loppy
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Qui voulait tuer Amilcar Cabral ? ; héros de la lutte pour l'indépendance nationale de Guinée-Bissau
Oupa Diossine Loppy
- Le manuscrit
- 6 Septembre 2007
- 9782748196122
La Guinée-Bissau a souffert de la présence portugaise qui aura duré plus de cinq siècles. Le colonialisme portugais est le plus long et le plus atroce, il a fallu attendre la moitié du XXe s pour que Amilcar Cabral et ses camarades se soulèvent pour mettre fin à cette oppression. L'auteur retrace, ici, la vision politique de Cabral et sa stratégie tout au long de cette lutte qui aura duré au moins dix ans. C'est une manière pour lui d'ouvrir une page d'histoire de ce petit Etat ouest-africain qui avait servi d'exemple pour les mouvements de libération nationale.
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Dès son arrivée à Paris, le jeune Barak Obbama vécut des rebondissements infernaux et interminables, car sa peau de nègre le désavantageait. Quand l'espoir renaissait, il virait toujours au désespoir, jusqu'au moment où il rencontra Térésa...
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L'auteur aborde plusieurs thèmes dont le fondement est la rencontre entre la culture manjaku et celle de l'Occident. D'un amour victime d'un conflit de religions, aux pouvoirs occultes chez les manjaku en passant par la folie, la dictature, le népotisme et l'accaparement des biens publics, les guerres fratricides et la problématique du bonheur.
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état domestique, république étranglée
Oupa Diossine Loppy
- Edilivre
- Classique
- 15 Juillet 2007
- 9782917135815
Une fois l'Afrique devenue indépendante, Ukala est élu président de la République de Bodiansa, un pays imaginaire. Il est chassé du pouvoir et tué par Kélountang qui ne perd pas de temps pour instaurer un état répressif où les libertés sont bafouées tous les jours, où les crimes politiques sont devenus banals. Kamoya s'empare du pouvoir à son tour, il fusille Kélountang et ses proches pour, dit-il, instaurer un état démocratique. Un dictateur peut en cacher un autre. Parmi ses conseillers politiques, Naboussingh joue pleinement son rôle, mais ce n'est pas ce que le tyran veut entendre ; Napentar est celui-là, le thuriféraire qui use de la flagornerie pour bénéficier de ses grâces et cela l'oppose souvent à Naboussingh. Kamoya a la boulimie du pouvoir et cela ne va pas avec le discours de raison que lui tient celui-ci ; il préfère qu'on lui chante ses louanges. Tout lui appartient, les biens et les femmes, il viole, tue selon son humeur, il gaspille les deniers publics comme s'ils étaient les siens. Ballotté par l'amour du pouvoir et le pouvoir de l'amour, il finit par se pencher sur le premier. Souffrant des maux du pouvoir, il se cache derrière l'alcool et la solitude jusqu'au jour où le palais est envahi par une foule hystérique, qui réclame la tête...
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Ughïl Lahyène, de la race des hyènes, s'invite dans l'univers des hommes et fait un diagnostic sans complaisance de la société humaine. Du pédantisme des hommes au racisme des uns et des autres, de la cupidité du Nord à la boulimie du pouvoir du Sud, de la méchanceté des puissants à la folie du monde, tout est passé au peigne fin.
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Jeune femme libre et indépendante en révolte contre les préjugés et les traditions, Nankwalé, suscite l'hostilité des hommes jusqu'au jour où, à l'occasion d'une fête organisée au village en l'honneur des circoncis qui sortent du bois sacré, elle fait la connaissance de Undíga, homme fidèle et secret. Un amour sincère et passionné les unit mais après plusieurs années de mariage, un événement terrible vient bientôt bouleverser l'harmonie conjugale.