Pour l'auteur, toute une partie de la jeunesse est condamnée par les maux de notre temps. Elle se désintéresse des vraies valeurs. Elle les ignore ou les méprise, mais elle ne porte pas la responsabilité de cette ignorance ou de ce mépris. Ce sont les mauvais maîtres qui la dirigent vers les chemins sans issue. Pour la guérir, Roger Holeindre apporte son expérience de la lutte et son espérance, sa force et sa saine verdeur.
Ce livre, écrit par un être authentique et croyant, est un des témoignages les plus vigoureux et les plus lucides sur notre époque.
Guerrier de l'Indochine et de l'Algérie, soldat politique à l'Assemblée nationale, Roger Holeindre a longtemps été journaliste et grand reporter à Paris-Match, Minute ou Magazine hebdo... Il se consacre aujourd'hui à ses divers mandats électoraux et préside le Cercle National des Combattants.
Il existait le roman noir, Roher Holeindre a inventé le roman «cam».
Le tout premier roman historique de Roger Holeindre, publié en 1980. La déchirure de l'aventure algérienne, vue au travers du regard de trois sous-officiers d'une unité commando, frères d'armes que l'abandon de l'Algérie française va confronter. Entre la fidélité à la parole donnée, la discipline comme seule règle de vie et une neutralité décadente, aucun n'en sortira indemne. Les liens tissés sur un champ de bataille peuvent-ils résister à la politique et la raison d'État ?
"Après son anthologie sur l'histoire du Parti communiste français, Trahisons sur commande ; avoir abattu dans le second opus la statue d'une des plus grandes impostures de ces soixante dernières années : le Gaullisme, dans l'homme qui faisait se battre les Français entre eux ; il signe là le troisième et dernier volet de sa trilogie consacrée à la deuxième moitié du XXe siècle. Une fois de plus, acteur, témoin et narrateur libre, Roger Holeindre s'engage sur des chemins très éloignés du politiquement correct, au plus près de la vérité et fait tout à la fois oeuvre d'historien et de journaliste. "
Un pamphlet le dernier livre de Roger Holeindre ? Oui ! Parce qu'il n'a jamais oublié que celui qui sait la vérité et ne la « gueule » pas est un salaud. Eternelle jeunesse d'un homme qui, à 15 ans, fut un des plus jeunes résistants de France.
Ceux qui, dans cinquante ans d'ici, se pencheront sur les chroniques de ce Froissart, de ce Commynes, qui avance en V.A.B. (véhicule de l'avant-blindé), se diront : « C'était donc ça la France, la fille aînée de l'église, la nation qui, un temps, éclaira le monde ? » On ne sort pas intact de la lecture de cet ouvrage où rien n'est oublié de ce qui fait notre triste quotidien. Rome n'est plus dans Rome et les Barbares campent au Capitole. Le livre de Roger Holeindre est un cri de colère. Mais d'espoir aussi. Car ce soldat n'a jamais péché contre l'Espérance. Ouvrez-le. Et lisez-le. Avec les yeux du coeur. Il est dhimmi passé, Docteur Schweitzer. Mais, comme les Suisses, merveilleux horlogers, on peut encore remettre les pendules à l'heure.
Le 20 juillet 1954, les accords de Genève ne désignant ni vainqueur ni vaincu, partageaient le Viêt Nam en deux. Le fabuleux projet d'une Union française entre métropole et outre-mer, disparaissait de la Constitution et des coeurs.
Les « idiots utiles », les pacifistes à sens unique, les antimilitaristes saluaient le courage du peuple vietnamien censé combattre pour son indépendance, mais oubliaient que cette indépendance lui était acquise depuis des années.
L'armée française ne se battait plus pour une quelconque reconquête coloniale, mais simplement pour éviter que le pays ne tombe aux mains de communistes fanatiques. Au départ de la France, après l'armistice de Genève, le Sud-Viêt Nam était une république libre qui n'avait pas besoin d'être libérée et, surtout, qui n'en avait nullement envie.
Ce n'est pas uniquement un idéal d'indépendance qui a poussé les dirigeants viêt-minh à mettre et remettre leur peuple dans la guerre, mais l'installation dans toute l'ancienne Indochine française d'un pouvoir marxiste aligné sur Moscou.
C'est pourquoi, cette guerre fut de la part du Viêt-minh une immense imposture ; les dirigeants d'Hanoi, l'oncle Hô le tout premier, sont des assassins.
Il peut paraître étonnant, cinquante ans après, de vouloir rappeler cela, mais aujourd'hui encore, alors que l'on nous bassine avec le « devoir de mémoire », la désinformation sur la présence de la France en Indochine est totale.
Ce livre - aux témoignages inédits, aux photos exceptionnelles et aux documents rarissime - est d'abord un hommage à tous les soldats des forces de l'Union française et à tous leurs frères d'armes du Laos, du Cambodge et du Viêt Nam, mais, cet ouvrage, précis et documenté, prend aussi la valeur d'un témoignage pour l'Histoire.
R. Holeindre, ex-dput du Front national, explique pourquoi il a mal la France, dans un livre d'humeur.
Ce livre est un roman basé sur des faits réels. Il fait revivre une époque qui marque encore les hommes d'aujourd'hui. Roger Holeindre raconte ici la vie, la guerre, la mort vues par un homme de troupe, par un deuxième classe para.À 14 ans, il s'échappait du pensionnat, s'emparait d'une mitrailleuse allemande et rejoignait les FFI.À 17 ans, il partait pour l'Indochine dans les « bérets-rouges ».Au cours de trois séjours, il a été de tous les coups durs. Il est rude, mais il est également tendre pour pleurer ses camarades tombés au combat. C'est avant tout un poète ; qui chante une aventure extraordinaire de notre temps.
Ce livre est dédié à la mémoire des 14?500 officiers polonais et aux malheureuses victimes qui sont mortes dans les camps de prisonniers soviétiques de Kolziesk, Starobiesk et Ostachkov pendant le printemps 1940. Les restes macabres de 4?253 d'entre eux furent retrouvés dans la forêt de Katyn en 1943. Il est aussi dédié aux dizaines de milliers de Polonais qui ont disparu en Union soviétique pendant et après la guerre. Ce qui est raconté là, c'est le plus terrible des massacres de masse commis dans les siècles récents. Et qui n'a jamais été jugé. Nous sommes tous redevables aux Polonais qui ont accepté et subi tous les sacrifices sans jamais avoir été honorés comme ils auraient dû l'être. En attendant la reconnaissance internationale de l'horreur de Katyn, puissent les textes rassemblés dans ce livre contribuer à réparer, même modestement, cette sanglante injustice.
Ce livre est dédié à la mémoire des 14 500 officiers polonais et aux malheureuses victimes qui sont mortes dans les camps de prisonniers soviétiques de Kolziesk, Starobiesk et Ostachkov pendant le printemps 1940.
Les restes macabres de 4 253 d'entre eux furent retrouvés dans la forêt de Katyn en 1943.
Il est aussi dédié aux dizaines de milliers de Polonais qui ont disparu en Union soviétique pendant et après la guerre.
Ce qui est raconté là, c'est le plus terrible des massacres de masse commis dans les siècles récents. Et qui n'a jamais été jugé. Nous sommes tous redevables aux Polonais qui ont accepté et subi tous les sacrifices sans jamais avoir été honorés comme ils auraient dû l'être. En attendant la reconnaissance internationale de l'horreur de Katyn, puissent les textes rassemblés dans ce livre contribuer à réparer, même modestement, cette sanglante injustice.