Les morilles suscitent un engouement particulier. Ce champignon mystérieux se fond si bien dans son environnement qu'il est difficile à apercevoir. L'auteur, Michel Michelet, nous raconte comment il a découvert ses premières morilles et comment est née une passion dévorante et grandissante. Les récits sont illustrés par des photographies d'oiseaux, d'animaux et insectes que l'on rencontre à la recherche de ces champignons. L'auteur nous invite à découvrir les fleurs, plantes et arbres qui jalonnent le parcours du «morilleur», et nous confie ses recettes de cuisine «avec des morilles», collectées auprès de ses amis tout aussi passionnés. Préface de l'éminent mycologue Pierre-Arthur Moreau, maître de conférences à l'université de Lille 2.
2011 MARQUE LE CENTENAIRE d'événements qui ont troublé la Champagne.
Yann Harlaut et Fabrice Perron ont repris les journaux et consulté les archives de l'époque pour analyser la situation des vignerons dans la Marne et dans l'Aube en 1911 et ainsi comprendre ce qui les mena à se révolter et à défier l'autorité de l'Etat.
En ce début de siècle, rien ne destinait à l'agitation les vignerons champenois, gens simples et travailleurs. Pourquoi ces hommes, rejoints par leurs femmes, ont-ils manifesté en masse et déchaîné leur colère sur de grandes maisons de champagne, entraînant le déploiement de plus de 15 000 soldats dans les zones viticoles ? Comment l'Etat a-t-il réagi sur le plan judiciaire et législatif ? C'est ce que tentent d'expliquer Yann Harlaut, historien marnais dont les racines plongent au coeur de la Montagne de Reims, et Fabrice Perron, historien aubois impliqué professionnellement dans le vignoble de la Côte des Bar.
A partir d'un travail de recherche universitaire, les auteurs proposent la composition d'un ouvrage richement documenté sur les techniques, supports et moyens de communication employés par les grandes maisons de Champagne entre 1880 et 1930. Cette période (de la «Belle Époque» aux «Années Folles») est caractérisée, pour le Négoce des vins champenois, par un extraordinaire essor, particulièrement à l'exportation, induit par la nouveauté de la stratégie de communication utilisée et des supports qui ont permis à ce que le champagne devienne le vin de la fête et de tous les grands moments, mondialement apprécié.
Cette flânerie à travers une vingtaine des plus beaux châteaux de Côte-d'Or invite à la découverte de l'architecture, des jardins et décors intérieurs de domaines principalement privés. Un beau livre aux clichés inédits.
Châteaux à découvrir : Arcelot, Beaumont-sur-Vingeanne, Blaisy-Haut, Bourbilly, Châteauneuf-en-Auxois, Clos de Vougeot, Commarin, Coraboeuf, Eguilly, Entre-Deux-Monts, Epoisses, Flée, Fontaine-Française, Frôlois, Grancey-le-Château, La Roche-en-Brénil, La Rochepot, Lacour d'Arcenay, Longecourt-en-Plaine, Ménessaire, Montmoyen, Rosières, Thoisy-la-Berchère.
Le fort de La Pompelle est un des lieux majeurs du souvenir de la Grande Guerre en région Champagne-Ardenne, à côté du mémorial de Dormans, du monument de Mondement et de celui de Navarin. Edifié en 1883, il constituait, en contrôlant la vallée de la Vesle et la route de Châlons, un des maillons de la ceinture fortifiée de Reims, elle-même élément du vaste programme défensif mis en place après la défaite de 1870 et connu sous le nom de son principal concepteur, le général Séré de Rivières.
La ligne de forts entourant Reims s'est trouvée coupée en deux, d'octobre 1914 à mars 1918, par le front de la guerre de tranchées et le fort de La Pompelle devint la clé de voûte de la défense de Reims, objet de combats acharnés. Aujourd'hui propriété de la ville de Reims, le site abrite un musée consacré à son histoire ainsi qu'une exceptionnelle collection de casques allemands.
Clairvaux, ce nom au fort pouvoir d'évocation, résonne aujourd'hui encore dans toute l'Europe.
Si certains murs ont été élevés au XIIe siècle à l'initiative de Bernard de Clairvaux - à jamais associé à l'abbaye qu'il fonda en 1115 - d'autres leur ont succédé pour donner forme à des bâtiments toujours plus majestueux, jusqu'au grand cloître du XVIIIe siècle.
La Révolution mit un terme à sept siècles de présence cistercienne et l'Etat fit l'acquisition des lieux en 1808 pour y établir ce qui allait devenir la plus célèbre prison de France.
Sa fonction carcérale tendant à disparaître, il est désormais possible de dresser un « état des lieux » de ce patrimoine, où coexistent les vestiges de l'abbaye et les traces du passage des détenus.
Guide pratique, cet ouvrage est une référence à l'usage des élèves, des professionnels et des passionnés de la vannerie.
Toutes les techniques de la vannerie sont ici passées en revue : de la réalisation d'objets personnels à la production industrielle, de la décoration des intérieurs et des jardins à la fabrication d'objets pratiques pour la vie quotidienne.
Ouvrage réédité avec le concours de l'Ecole nationale d'osiériculture et de vannerie de Fayl-Billot (Haute-Marne), du Comité de développement et de promotion de la vannerie de Fayl-Billot et de la Coopérative de vannerie de Villaines-les-Rochers (Indre-et-Loire).
La préfecture et le conseil général de la Marne occupent les bâtiments de l'ancienne intendance de Champagne, l'une des rares du royaume entièrement construite au XVIIIe siècle. C'est en outre, avec Besançon, l'édifice qui a le mieux conservé ses dispositions d'origine, ainsi que son décor intérieur, décor qui se situe dans la transition entre les courbes du rocaille et le retour aux lignes droites du néoclassicisme.
Expression hautement symbolique du pouvoir royal au coeur de la province et de la ville, cette construction marque le début des importants aménagements urbains réalisés à Châlons par les intendants dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, devenant elle-même le point d'aboutissement de deux grandes perspectives.
Dévasté en 2002 par un incendie qui a heureusement en grande partie épargné son décor, le bâtiment principal vient de retrouver tout son éclat et ses coloris d'origine - ses ors répartis avec modération et à propos - soulignant, selon l'usage du XVIIIe siècle, la progression du visiteur dans la hiérarchie des pièces.
Dernière semaine d'août : certains sont encore en vacances, d'autres au travail. Un temps mis à profit par Nicolas, Sabrina, Sébastien et Marie-Jeanne pour approfondir ce que signifie l'Amour - envers l'autre, la famille, Dieu. «Quand les hommes manquent à leur devoir, Dieu étend toujours la main.» (Ernst Wiechert, Missa sine nomine) Après plus de vingt-cinq ans de ministère dans le diocèse de Verdun (Meuse), Mgr Joseph de Metz-Noblat est aujourd'hui évêque de Langres (Haute-Marne). Il a profité du confinement pour signer son premier roman.
Voici venir à vous, ici, des femmes illustres, vosgiennes, ou adoptées par les Vosges, qui ont marqué l'histoire de notre département. De sainte Jeanne d'Arc, notre héroïne nationale de Domrémy-la-Pucelle, que l'on ne présente plus, à Julie-Victoire Daubié, première femme à obtenir son baccalauréat en France, et féministe convaincue, comme Julia Bertrand, avocate de la libre-pensée et de l'objection de conscience... Comment laisser de côté des femmes de lettres comme Jeanne Cressanges, Brigitte Kernel, Antoinette Scheurer (aliasMarie Sils) ou Félicie Jeanpierre, qui se faisait appeler... Pierre Ficy ? Qu'elles soient actrices, comme Emmanuelle Riva ou Ève Lavallière, chanteuses, comme Chantal Goya, Damia ou Sidonie Baba, sportives comme Véronique Claudel, les soeurs Leduc, les skieuses, ou Aurore Mongel, la nageuse, ou encore Paulette Pierot, « la Vosgienne à la moto », ou cuisinière émérite, comme Reine Sammut, ces quarante « rugissantes », un peu plus même, chacune dans son domaine, nous ont interpellé. Il en va de même pour Odile Redon, spinalienne, spécialiste du Moyen Âge ou Marceline Loridan-Ivens, cinéaste et « jumelle contradictoire » durant la seconde guerre mondiale, de Simone Veil. De Clémentine Delait, et sa consoeur Marie Cugnin, femmes à barbe(s) qui ne manquaient pas de piquant, à Jutta Cuny, peintre et sculpteur. De Joëlle Bourgois, première femme ambassadrice, à Fanny Boussac, une voix, épouse d'un grand patron du textile vosgien. En passant par Germaine Bouloumié, qui présida la toute puissante Société des eaux de Vittel. De Jacqueline Apollinaire, la Jolie Rousse, à Dorothée Vançon, la joueuse d'épinette, nous vous invitons à les découvrir ou les redécouvrir. Au gré de vos désirs, vous retrouverez ici Françoise Maubertier, la fondatrice de la station thermale de Martigny-les-Bains, Marie Chauvière, à l'origine du sanatorium d'Isches... Nous suivrons la trace de Dominique Meyer, la chercheuse, ou de Ségolène Royal au long parcours politique. Sans oublier Hélène Ploix, administratrice du FMI ou Chantal Debry, qui a tant oeuvré pour Châtel-sur-Moselle. La religion nous incite aussi à mieux connaître sainte Libaire, Alix Le Clerc ou Élisabeth de Ranfaing. Les affres des guerres nous montrent aussi combien des femmes peuvent résister et faire preuve d'un courage hors du commun. C'est le cas de Noëlle Jacquot et Monique Bastien qui sont autant d'exemples de bravoure et de défi à l'adversité. Le destin de la grande-duchesse Wladimir, à Contrexéville, mérite une cure du souvenir salvatrice. La patriote Marie Antoinette Lix, Marie-Anne Valdenaire, cantinière de la Grande Armée, Laure de Saint-Ouen, et son chemin des écoliers, toutes ont un parcours hors du commun. Joli périple aussi que celui d'Alberte-Barbe d'Ernecourt ou de Gilberte Cournand, qui illumina le monde de la danse. On gardera enfin, pour la bonne bouche, la fidélité de Marie-Jeanne Vaudechamp, qui sera « l'Antigone » - et l'épouse - de « l'abbé Delille », grand poète et traducteur. (Bruno Théveny)
Le Train dans l'Aube est, après L'Histoire du chemin de fer dans l'Aube et ses environs (2002) et Les 100 gares de l'Aube (2005), le troisième et dernier ouvrage de Guy Capet consacré à ce moyen de locomotion dans un département qu'il a sillonné du nord au sud et d'est en ouest. C'est aussi une réponse à tous les témoignages et documents reçus après la parution des deux premiers opus.
Avec plus de 250 photos, dessins ou cartes postales sélectionnés, visiblement, le sujet passionne !
Outre la grande histoire du train dans l'Aube, vous y découvrirez celle de nombreux Aubois qui furent cheminots, combattants ou simples usagers.
Un livre à conserver précieusement !
À Troyes, les vingt cinq dernières années ont donné lieu à des sondages et à des fouilles archéologiques de sauvetage en nombre important, en liaison principalement avec les grands travaux urbains qui menaçaient de destruction définitive le patrimoine enfoui de la ville sur différents secteurs. Les résultats s'en sont trouvés multipliés, accrus par le progrès des méthodes de fouille, l'affinement des observations et de nouvelles problématiques. Les connaissances antérieures ont considérablement progressé et ont même parfois été renouvelées. Des données anciennement connues ont été réinterprétées à la lumière des découvertes récentes.
La tradition des tartines et casse-croûte est ancienne et connaît aujourd'hui un véritable renouveau autour des produits du terroir. Lise Bésème-Pia s'intéresse ici aux recettes du Nord et de l'Est de la France - jusqu'en Belgique - et nous raconte la petite histoire de ces tartines souvent associées à des coutumes locales ou à des métiers (cloutier, ardoisier, bûcheron, vigneron...). Tartines salées, dites "de santé", à la charcuterie, au lard, aux produits de la mer, aux oeufs, aux truffes, aux légumes, aux fromages jusqu'aux tartines sucrées, il y en a pour tous les goûts !
Les parlers de la Champagne et de la Brie n'ont fait l'objet d'aucun travail d'ensemble avant 1957. L'une des raisons de cette lacune, c'est que l'on a toujours affirmé jusqu'à cette date que les Champenois et les Briards avaient perdu depuis longtemps l'usage de leurs parlers ruraux au bénéfice de la langue française.
Les parlers de la Champagne et de la Brie n'ont fait l'objet d'aucun travail d'ensemble avant 1957. L'une des raisons de cette lacune, c'est que l'on a toujours affirmé jusqu'à cette date que les Champenois et les Briards avaient perdu depuis longtemps l'usage de leurs parlers ruraux au bénéfice de la langue française.
Les poiriers font partie des arbres fruitiers les plus répandus d'Europe. L'histoire de la poire est riche et ses variétés fort nombreuses. Après une partie consacrée au destin de ce fruit du néolithique à nos jours, l'auteur propose ses recettes salées ou sucrées. Les cent recettes présentées sont soit classiques - comme la poire Belle-Hélène, la tarte amandine ou la charlotte aux poires -, soit originales - comme le chutney aux poires, les poires pochées au chèvre ou la tarte aux poires et à la réglisse -, mais toujours faciles à réaliser.
Docteur en archéologie, spécialiste des implantations des ordres du Temple et de l'Hôpital en Normandie et en Bourgogne, Michel Miguet s'intéresse ici à la maison de Bure, la plus ancienne et l'une des plus importantes commanderies bourguignonnes. Il consacre une étude historique et archéologique à l'ensemble de cette baillie - chef-lieu de commanderie et dépendances -, depuis sa fondation jusqu'aux dernières restaurations entreprises.
En se fondant sur la documentation disponible, l'auteur montre comment à partir de dons reçus, souvent sollicités, puis d'achats et d'échanges, les Templiers ont établi des domaines vastes et diversifiés dans le but ultime de fournir les fonds nécessaires à l'entretien de l'armée templière combattant en Orient.
Si les hommes n'ont bien souvent laissé d'autre trace que leur nom, quelques personnalités fascinantes se dessinent toutefois parmi les frères du Temple, à travers les témoignages recueillis lors du célèbre procès qui se déroula de 1307 à 1311.
À la suppression de l'Ordre (1312), ses biens furent dévolus aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem qui les ont conservés jusqu'à la Révolution. C'est grâce aux procès-verbaux dressés lors des visites prieurales hospitalières que l'évolution de la baillie de Bure et de ses terroirs a pu être partiellement reconstituée.
Fort heureusement, malgré l'action dévastatrice du temps - mais aussi celle des hommes -, de remarquables vestiges des constructions des deux ordres ont pu parvenir jusqu'à nous.
Publié dans le cadre de l'exposition " Alizard père & fils, peintres et professeurs (1827-1948) conçue et présentée par le musée d'art et d'histoire de Langres. Première monographie consacrée aux artistes Antoine Julien (1827-1912) et Joseph Paul (1867-1948) Alizard, ce catalogue d'exposition suit un cheminement chronologique évoquant leurs origines familiales, leur apprentissage, leur carrière et un premier panorama de leurs oeuvres de la Picardie à Paris, de la Haute-Marne à la Bretagne. Dessins, croquis, études préparatoires, peintures et photographies illustrent le goût des artistes pour les scènes d'histoire, les portraits et les scènes de genre.
Le présent ouvrage s'intéresse à la cuisine familiale locale de la région d'Ardenne, à l'exception de quelques recettes transmises par des restaurateurs locaux. Il s'agit d'une cuisine rustique, de tradition, souvent copieuse et surtout accessible à tous. Les spécialités gastronomiques ardennaises y sont répertoriées, ainsi que leurs variantes. Les recettes les moins connues ou les plus insolites sont précédées d'un texte court précisant leur origine.
Ce livre est destiné non seulement à donner d'autres idées de plats, mais aussi à faire apprécier cette région mal connue à travers la richesse de sa gastronomie. L'Ardenne, par sa situation géographique, semble souvent lointaine et pleine de mystère... Elle mérite que l'on s'intéresse autant à sa cuisine typique qu'à ses rites qui retiennent désormais les touristes amoureux de nature et de bonne chère. Prise en étau entre une région de vin (la Champagne) et un pays de bière (la Belgique), cette région, bien que relativement modeste économiquement, est riche de traditions et peut revendiquer une gastronomie variée.
Nul doute qu'avec ce livre, vous ne manquerez plus d'idées originales pour charmer vos invités.
Pour le plaisir des yeux, nous vous proposons un nouveau voyage au début du XXe siècle avec les plus beaux clichés des meilleurs photographes haut-marnais.
Ils sont nombreux à nous avoir laissé de remarquables témoignages photographiques : de Lucien Merger à Hortes, auquel un important chapitre est consacré ici, à Abel Maugras de Bourbonne-les-Bains, en passant par les éditeurs Alexandre Gauthier à Saint-Dizier, Alphonse Pourtoy à Chaumont ou Paul Mongin à Langres. Beaucoup faisaient aussi de la photo par passion, comme Léon Fyot à Farincourt ou Léon Aubry à Aubepierre-sur-Aube.
Quant à Louis Guillemin, il assista à l'atterrissage du Zeppelin L49 en 1917. N'oublions pas la multitude de religieux qui saisissaient leurs fidèles sur papier photo : l'abbé Lassalle à Genevrières, l'abbé Chaumette à Malroy, ou encore l'abbé Haquin à Illoud qui immortalisa les célèbres Tantaloches. Avec près de 350 photographies, cartes postales et documents anciens inclus dans ce livre, nous vous invitons à redécouvrir la Haute-Marne à la Belle Epoque.
Bernard, âgé de 23 ans, entrait à l'abbaye de Cîteaux en 1113, après avoir regroupé plus de trente compagnons, parmi lesquels ses frères. Ce petit livret raconte son enfance et sa jeunesse...
Alors que sont en train de disparaître les derniers témoins directs de la Grande Guerre, il importe d'entretenir la mémoire de ce conflit, matrice du XXe siècle et véritable guerre civile européenne.
Le département de la Marne fut parmi les plus meurtris, tant, au nord de son territoire, par la guerre de tranchées et les boucheries inutiles des offensives d'Argonne et de Champagne, qu'à l'ouest par la guerre de mouvement des deux batailles de la Marne. Les monuments de Mondement, de la ferme de Navarin ou de Blanc-Mont, le mémorial de Dormans et les cimetières militaires dont le nombre et la taille témoignent de l'intensité des combats, sont les principaux jalons de cet " itinéraire " s'adressant à tous ceux qui cherchent à comprendre et à méditer les raisons de ces sacrifices, tandis que les monuments aux morts communaux constituent, en contrepoint, le témoignage des populations civiles et des anciens combattants.
L'inventaire recense, étudie et fait connaître le patrimoine historique et artistique de la France. Les Itinéraires du Patrimoine, conçus comme des outils de tourisme culturel, sont des guides sur les chemins de la découverte.