Il était une fois.
Dans un royaume lointain, un jeune prince est victime d'un terrible sort : son coeur, enveloppé d'une gangue de cristal, ne peut ni vibrer ni aimer. Seul un feu d'amour brûlant permettrait de le libérer. Alors qu'il est en âge de se marier, et malgré tous ses efforts, aucune femme ne lui inspire cette passion. C'est ainsi qu'il décide de partir sur les routes du monde, à la recherche de celle qui le délivrerait du maléfice. Semée de bien des obstacles, sa quête l'amène à méditer sur le sens de la vie, mais aussi à découvrir le redoutable secret qui pèse sur sa naissance.
Quand Frédéric Lenoir se penche sur le coeur des hommes, il nous livre un conte initiatique universel pour petits et grands.
« Quand arriva son heure, Jésus dit à ceux qui étaient avec lui au jardin de Gethsémani, Pierre, Jacques et Jean, les disciples particulièrement aimés : "Levez-vous ! Allons ! Il n'était pas le seul à devoir aller vers l'accomplissement de la volonté du Père : eux aussi devaient y aller avec Lui.
Je parle de cela du lieu où l'amour du Christ Sauveur m'a conduit, me demandant de sortir de ma terre pour porter du fruit ailleurs, avec Sa grâce, un fruit appelé à demeurer. Faisant écho aux paroles de notre Maître et Seigneur, je redis donc, moi aussi, à chacun de vous, très chers Frères dans l'Épiscopat: Levez-vous ! Allons !" Allons en nous fiant au Christ. Lui nous accompagnera sur le chemin, jusqu'au but que Lui seul connaît. » Jean-Paul II
Si l'inestimable privilège de nous entretenir en tête à tête avec le pape nous était donné, quelles questions brûlantes lui poserions-nous ? pour la première fois dans l'histoire de la chrétienté, son chef s'adresse, sans intermédiaire, à chacun d'entre nous.
Quelles preuves avons-nous de l'existence de dieu? s'il existe, pourquoi se cache-t-il ? s'il est amour, pourquoi tant de mal dans le monde ? pourquoi la guerre, les camps, l'holocauste ? pourquoi les chrétiens sont-ils divisés? y a-t-il un salut, hors de l'eglise ? a toutes les interrogations angoissantes de l'homme, jean-paul ii a pris le risque de répondre spontanément, directement, dans un livre unique à valeur testamentaire.
A l'aube du troisième millénaire, par le miracle de la communication moderne, c'est la voix familière et passionnée du successeur du christ, du théologien et du pasteur, qui nous parle. elle nous dit que l'espérance existe, qu'elle est fondée, et s'offre à tous ceux qui voudront bien l'accepter.
À l'heure où les autorités religieuses déplorent la désaffection des fidèles pour les lieux de culte, cet ouvrage montre que la prière n'a jamais été aussi vivante, vibrante, nécessaire. Les auteurs ont rassemblé leurs entretiens avec des personnalités représentant les principales religions en France, de confessions chrétiennes (catholique, protestante, orthodoxe), juive, musulmane, bouddhiste, hindouiste sans oublier la « prière laïque ».
Empreints de force et de sérénité, voire de poésie, ces entretiens nous invitent à pénétrer l'univers intime où l'homme exprime ses émotions, ses doutes, ses espoirs ou sa gratitude. Ils délivrent également un message d'espérance. Malgré les apparences, nous prions le même Dieu et la prière reste le meilleur moyen de relier les hommes entre eux, par-delà les croyances, les dogmes et les conflits religieux.
Préfaces de Mgr Jean Vernette, du grand rabbin Joseph Sitruk et du recteur Larbi Kéchat
Missionnaire jésuite établi en Inde, le Père Ceyrac s'est consacré pendant près de soixante-dix ans à rendre leur dignité humaine à ceux que la vie ou la société avaient rejetés. Sans publicité ni reconnaissance médiatique, il a contribué à la construction de fermes, puits, chantiers, écoles ou orphelinats, animé par une spiritualité et une énergie inépuisables. D'innombrables rencontres ont jalonné ces années, et nombre d'entre elles ont été porteuses d'un message, d'une leçon, d'un espoir.
À près de quatre-vingt-dix ans, le Père Ceyrac revient sur quelques-unes de ces anecdotes marquantes, glanées au fil d'une vie hors du commun tout entière transcendée par la foi.
Depuis des siècles, les spécialistes des Évangiles n'accordent que peu de considération à la langue maternelle de Jésus pour n'étudier que les textes grecs. L'auteur a traqué pendant des années de recherches les contresens, les déformations successives qu'ont subies les paroles de Jésus Christ depuis qu'elles ont été prononcées en araméen, une langue sémitique antérieure à l'hébreu. Il s'est fondé pour ce faire sur la "Peshitta", Évangile écrit en araméen encore utilisé par les églises de Syrie, d'Irak et du Liban et dont plusieurs spécialistes affirment qu'ils seraient antérieurs aux Évangiles grecs.Se révèle alors un enseignement spirituel cristallin et profond dont les subtilités ont échappé à nombre de traducteurs et d'exégètes qui l'ont réduit à une morale ordinaire. On y découvre en particulier que les mots et les notions même de bien et de mal sont étrangers à la langue araméenne et que Jésus s'exprimait en terme de maturité et d'immaturité. Par exemple, voici les deux versions de la première béatitude :Traduite du grec : "Heureux les pauvres d'esprit ; le Royaume des Cieux est à eux."Traduite de l'araméen : "Matures sont ceux qui ont réalisé qu'ils ne possédaient rien d'autre que le Souffle (Esprit), le Royaume des Cieux est à eux."On ne parle plus d'une vertu morale mais d'une réalisation intime fruit d'une ascèse, ce dont ont témoigné les grands mystiques comme Saint Jean de la Croix ou Sainte Thérèse d'Avila.Autre "nuance" Jésus parlait de Royaume des Cieux au présent et non au futur. Soit le règne est ici et maintenant et nous n'en sommes pas conscients tant que nous n'avons pas purifié notre coeur et notre regard, soit le Royaume nous at-tend plus tard à notre mort et à la fin des temps. Si nous prenons en considération ce présent, c'est tout un pan de la théologie qui s'effondre.
Soeur Emmanuelle, aurait eu 100 ans le 16 novembre 2008. Elle est décédée quelques jours avant cet événement, suscitant une vague d'émotion sans précédent.
Elle avait accepté de donner, à cette occasion, un message tirant les leçons du siècle qu'elle avait vécu, contant sa vie de foi, les difficultés qu'elle avait rencontrées et l'espérance qui l'animait. Ce document unique est le reflet de son énergie, de son goût de vivre demeurés intacts jusqu'au bout d'une vie d'exception. Bien plus, à l'approche de cet anniversaire si marquant, elle parle plus librement que jamais et lève de nombreux voiles sur sa vie.
Des confidences parfois savoureuses, souvent étonnantes mais toujours émouvantes.
La bible est le livre.
En lui tout est écrit, le passé, le présent, l'avenir.
En septembre 1994, michael drosnin fit remettre au premier ministre israélien le message suivant :
" un mathématicien israélien a découvert un code secret dans la bible qui semble décrire en détail des événements qui se sont produits des milliers d'années après que la bible a été rédigée... la raison pour laquelle je vous écris c'est que la seule fois où votre nom apparaît en entier codé, il est barré par les mots l'assassin assassinera.
" quatorze mois plus tard, yitzhak rabin était abattu d'une balle dans le dos.
Ainsi débute le récit authentique d'une découverte des plus bouleversantes : la présence d'un code secret dans le texte même de la bible, une série d'avertissements que seule l'invention de l'ordinateur nous permet aujourd'hui de déchiffrer. pour cette fin de millénaire, trois dates reviennent sans cesse, associées à l'apocalypse nucléaire...