La Révolution Tome 2 ; les autels de la peur

À propos

deuxième épisode de ce roman vrai de la révolution française que margerit a conçu au rebours des habitudes du roman historique : en obligeant ses personnages de fiction à ne vivre que selon la stricte exactitude de l'histoire.
le résultat, paradoxal, est un récit à la fois austère et si violemment vivant que le lecteur le plus rétif est incapable de sen déprendre. le jeune avocat claude mounier. après avoir participé aux etats généraux de 89. s'en retourne à limoges où il retrouve lise, sa jeune épouse, fidèle et pourtant toujours attachée à bernard, l'amour de sa jeunesse. les trois jeunes gens, non sans peine, tentent d'accorder les exigences de leurs idées et celles de leur coeur.
mais l'histoire à nouveau brouille les cartes... l'ambition rappelle claude à paris. quant à bernard, son refus de toute aventure l'entraîne paradoxalement sur les chemins de la gloire militaire... autour d'eux, les événements qui se succèdent dans les coulisses du pouvoir déçoivent peu à peu les espérances des uns et des autres... tandis qu'à la liberté et à la fraternité promises font place la défiance et bientôt la peur...


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  • Auteur(s)

    Robert Margerit

  • Éditeur

    Libretto

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    18/02/2005

  • EAN

    9782752900548

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Nombre de pages

    695 Pages

  • Longueur

    18.1 cm

  • Largeur

    12.1 cm

  • Épaisseur

    3.7 cm

  • Poids

    550 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Robert Margerit

Né le 25 janvier 1910 à Brive-la-Gaillarde, Robert
Margerit a été journaliste à Limoges de 1931 à 1941.
Il assumera de 1948 à 1952 les fonctions de rédacteur
en chef du Populaire du Centre, auquel il restera par la
suite attaché en tant que chroniqueur. L'Île des Perro-
quets, paru en 1942 lui permet d'envisager une carrière
d'écrivain qu'il poursuivra en publiant Mont-Dragon en
1944, Le Vin des vendangeurs en 1946 et Le Dieu nu qui
obtint le prix Renaudot en 1951. Cette production très
riche sera complétée en 1958 par La Terre aux Loups
puis, en 1963, par une fresque historique ambitieuse,
La Révolution (quatre volumes) qui reçoit le Grand
Prix du roman de l'Académie française. Il s'éteint à
Limoges le 27 juin 1988.

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